Il y avait déjà eut de la part de Féeperverse intrusion sur un forum privé grace à mon identifiant et mon mot de passe qu'elle avait piraté, l'effacement des billets déposés sur ce blog de la même façon. Maintenant, elle va plus loin : elle adresse aux personnes qui laissent un commentaire sur le blog, un courrier de 90 pages m'accusant bien sur de tous les maux et en y intégrant en plus des mails que je lui avait adressé au moment de la dépression et dans lesquels j'exposais ma douleur et mon total désarroi ainsi que le sentiment de culpabilité et de honte qu'elle avait enfoncé profondément en moi. Je sais qu'elle a une telle image grandiose d'elle-même et un égo démesuré qu'elle ne supporte pas que l'on puisse penser quelque chose de négatif sur elle et encore moins le dire, je l'ai assez souvent appris à mes dépends mais, je suis à nouveau écoeuré par ses procédés. Je trouve cela pitoyable mais je sais qu'elle ne changera jamais et que cela continuera tant que nous aurons l'obligation d'avoir des relations au travers des enfants. Elle continue à espionner mes moindres faits et gestes et, alors qu'elle habite désormais à 230 kms, elle s'est renseignée sur mon emploi du temps de prof !!! Je ne sais encore que faire fermer ce blog ou le poursuivre. Ce qui est sur, je ne céderai plus à ses intimidations ou menaces, à ses comportements pervers. Je veux me libérer de ce passé douloureux coûte que coûte. J'avais pris la décision de raconter ici ce passé pour m'en libérer, la psy m'ayant d'ailleurs conseillé de mettre cela par écrit. En même temps, j'avais souhaité le publier car, j'ai trouvé au printemps dernier sur des blogs, des témoignages qui m'ont aidé à comprendre que je n'étais pas fou et que n'était pas le seul à subir cette destruction psychologique. Je crois que c'est difficile à comprendre ce genre de situation quand on ne l'a pas soi-même vécue. Beaucoup me disent mais pourquoi as-tu acvcepté tout cela? C'est vrai que cela peut paraître aberrant de se retrouver dans une soumission totale face à ce type de personnage mais comme je l'ai déjà évoqué, MF Hirigoyen dans "Harcèlement moral ou la violence perverse au quotidien" décrit ce phénomène d'emprise où syystématiquement le ou la pervers(e) enfonce l'autre dans la culpabilisation à l'extrême et conduit à la dépression profonde d'où il est difficile de sortir.
Aujourd'hui, féeperverse a perdu ce pouvoir direct de manipulation, elle utilise donc les enfants et tous les moyens à sa disposition pour continuer à détruire et surtout à dominer et contrôler la vie de l'autre, peu importe pour elle les moyens, l'important c'est de continuer à préserver cette égocentrisme. De toute façon, comme elle l'a dit souvent au printemps : "Je détiens la vérité, ma vérité et rien ne pourra jamais me faire changer d'avis". Je me suis usé et détruit l'hiver dernier à vouloir discuter en espérant que ce je prenais pour de l'orgueil finirait par disparaître et c'était une erreur. Une grave erreur même car, dans l'ouvrage d'Hirigoyen, j'ai retrouvé une expression qui m'a fait tilt. Pendant de longues semaines, avant de lire ce livre, j'ai demandé à ma féeperverse une discussion "d'égal à égal", où chacun pourrait reconnaître ses erreurs et surtout qu'elle cesse de me faire culpabiliser encore plus. L'auteure, explique dans son livre qu'il est impossible de discuter d'égal à égal avec un pervers narcissique. Celui-ci, aura toujours raison, si en face l'autre personne ose demander de discuter et surtout, ose remettre en question les propos ou avis du pervers, tout comme féeperverse, tout pervers narcissique entre alors dans une phase de destruction psychologique car, il faut maintenir l'emprise à tout prix. Aujourd'hui, féeperverse n'utilise plus les mêmes moyens mais l'important pour elle c'est de continuer à contrôler sinon son vide intérieur lui éclaterai à la figure au moins jusqu'à ce qu'elle trouve une nouvelle proie. Pourtant, je ne souhaite à personne de tomber entre ses griffes!!!
Je suis tombée par hasard sur ton blog car je cherchais de l'information sur quoi faire avec une mère manipulatrice...je me rends compte maintenat que j'ai une "reine-mère perverse".je suis de tout coeur avec toi et tes enfants.Ma mère me fait un un peu le même enfer pour voir ma fille de 7 ans alors qu'elle a voulu me frapper et prendre ma fille en otage un jour où j,ai eu l'outrecuidance de lui tenir tête et de vouloir m,en aller alors qu,elle avait besoin de passer sa rage sur quelqu'un,sa rage d'avoir été jetée par son homme,qui comme toi,était en train de se changer en tapis sous son emprise...À bas les fée et reine-mère perverses!!!
Amicalement,Mélie
Bonjour,
Merci beaucoup pour ce blog ; je suis actuellement dans une période où j’ai besoin de comprendre certaines choses, et si sur internet je trouve plein d’infos sur le profil du pervers narcissique, toujours les mêmes d’ailleurs, je manque de repères pour me sortir de cette situation. Ce que je trouve sur ce blog me semble vraiment utile.
Je pense que je suis sortie avec un pervers narcissique mais concrètement, ça ne m’aide qu’à moitié d’avoir mis un nom sur son problème. En fait, une partie de mon entourage continue à mettre mon ex sur un piédestal et parlent de lui constamment devant moi alors qu’ils savent que ça s’est mal passé et ça me blesse. En entendant tout le temps parler de lui, j’ai l’impression de ne pas pouvoir sortir de cette histoire.
Pour expliquer : je suis tombée amoureuse de G il y a maintenant deux ans, c’était un ami de collègues avec qui je m’entendais très bien.
Après des débuts assez longs (j’étais la plus belle, la femme idéale etc mais ça devait être une grande histoire pure, alors il ne voulait pas tout abîmer ) nous sommes sortis ensemble, il m’a plaquée très vite en me faisant les reproches les plus blessants que j’ai entendus, puis ensuite m’a envoyé régulièrement des messages gentils. Ca m’a empêché de réussir une relation avec quelqu’un que j’avais rencontré après qu’il me quitte. Et nous sommes ressortis ensemble quelques mois après, parce que ce qu’il m’avait fait miroiter dans un premier temps me semblait tellement fort que ça ne me semblait pas possible de passer à côté de cette histoire.
Au début, ça allait, puis j’ai remarqué que les petits soucis du quotidien se multipliaient : objets déplacés, perte de documents, etc. en même temps, il me faisait tourner en bourrique, par exemple m’annonçait qu’on allait quelque part ensemble le soir et quand je lui demandais quand on partait me répondait : mais on a jamais parlé de ça, tu es folle ! Ou alors : mais si on y va, c’est parce que c’est toi qui le veut…ça se terminait par de longues conversations introspectives dont la conclusion était toujours que j’étais névrosée. Je commençais à perdre mes repères, j’avais l’impression que c’était mes « troubles » qui le rendaient de plus en plus colérique. Il se mettait à éclater dans des colères tétanisantes, et au fil des semaines devenait de plus en plus humiliant ( je n’avais pas le droit au même petit déjeuner que lui, il me laissait à la porte ¼ d’heure avant de daigner m’ouvrir, draguait d’autres filles devant moi, me tapait dessus pour se détendre les nerfs, me faisait comprendre que le temps qu’il avait à me consacrer était écoulé, ne m’invitait chez lui qu’après que j’ai dîné –économie d’un repas, hurlait après moi pour les motifs les plus futiles…), parce que je le décevais mais en même temps j’étais « à lui ».
Il m’incitait à voir de moins en moins ma mère, mes amis parce que c’était du temps qu’on ne pouvait pas passer ensemble, et me téléphonait souvent pour savoir ce que je faisais quand il n’était pas là. Je me faisais traîner plus bas que terre si j’avais eu le malheur de ne pas répondre à son coup de fil parce que je n’étais pas disponible. Par contre, je n’avais pas le droit de lui demander ce qu’il faisait…C’est en parlant avec des amis par e-mail que j’ai pris conscience que la situation était intolérable, je n’osais pas tout raconter (et encore maintenant) tellement j’avais honte de ce que j’acceptais. Mais je l’avais tellement aimé…Mais ça m’a permis de comprendre que même si je n’étais pas parfaite ou que j’avais effectivement un problème psychologique, ça ne justifiait pas son agressivité ni sa méchanceté.
Ce sont aussi ses colères de plus en plus irrationnelles qui m’ont fait prendre de la distance et puis surtout quand je suis tombée malade. J’avais été très gravement malade plusieurs années avant, et quand là, je parlais à G de mes inquiétudes, il était odieux, disait que j’exagérais. Il était à l’autre bout de la France à ce moment et n’a pas pris de mes nouvelles, ne s’est absolument pas inquiété de mes résultats d’examen, ne répondait pas quand je l’appelais et quand je l’avais au téléphone, c’était pour l’entendre se plaindre ou me raccrocher au nez. Tout le monde ma famille, mes amis, mes collègues ont été plus attentionnés que lui pendant mon arrêt maladie.
Quand il est revenu, il a été odieux, m’a traitée comme une m…, le dernier soir, il m’a fait venir chez lui alors que je ne devais pas me déplacer, mais pourtant, je l’ai encore fait, il ne s’est pas intéressé à moi, a regardé la télé (son programme), s’est « déstressé » en me tapant dessus avec ce qui trainait à portée de main, a dîné seul devant moi sans me proposer quoi que ce soit puis m’a annoncé qu’il avait invité une fille à boire un verre ½ heure après…ce qui signifiait que je pouvais disposer. Ca s’est transformé en une demande d’explication qui a tourné de façon hyper violente au cours de laquelle je me suis une fois de plus retrouvée en situation d’être l’accusée : j’exagérais, j’en demandais trop, j’étais capricieuse, jamais contente, il ne pouvait plus tolérer mon comportement excessif ( ?)… J’ai quand même réussi à lui dire ce qui à mon sens relevait de son problème, ça l’a rendu encore plus furieux.
Il m’a déposé mes affaires sur mon bureau en mon absence deux mois après. Il a toujours refusé de me donner toute explication complémentaire.
Mon problème, c’est que ses amis sont mes collègues. Ils savent pourtant qu’il a des problèmes relationnels récurrents, est sexiste et régulièrement dégradant avec les femmes, mais ils ont pris son parti. A leurs yeux, j’exagère la situation, c’est moi qui en rajoute parce que je serais vexée qu’il m’ait quittée. Ils parlent de lui régulièrement devant moi, toujours en bien, en organisant des soirées, des week-ends avec lui. Au fur et à mesure, non seulement, c’est moi qu’ils ont mise de côté mais ils le plaignent lui.
Leur regard sur notre relation me trouble. Comment ça se fait que ce soit lui qui ait gardé des amis, que ce soit lui que les gens plaignent J’en suis venue à me dire que c’était peut-être effectivement moi qui avais un problème.. Et en fait, je me demande parfois si ce n’est pas moi qui suis la perverse dans cette histoire, en tout cas à leurs yeux. Ca fera bientôt un an que je ne suis plus avec G mais je ressasse toujours cette histoire. Je ne sais plus ce qui était normal ou non.
Et puis je ne sais plus comment faire avec mes collègues pour qu’ils arrêtent de parler de lui. Je leur ai dit que ça me blesse mais ça se retourne contre moi, c’est moi qui prend le rôle de la furieuse dont l’amertume ne s’arrête pas.
Je ne sais plus vraiment quoi faire. Je me rends compte que je ne me remets pas de ce que j’ai vécu avec G, pas seulement le fait qu’il m’ait humiliée, mais que je l’ai accepté. Je n’arrive pas à admettre qu’on puisse vouloir du mal à la personne avec qui l’on est sensé construire sa vie. Et au quotidien, je ne supporte pas que le mal suscite une parfaite indifférence, le mal que j’ai ressenti, tout le monde s’en fout.
Alors lire les expériences d’autres personnes, leurs émotions, ça me fait du bien. Ca me rassure en me disant que ce que j’ai ressenti n’est pas le fruit de mon imagination, ce n’est pas juste moi qui exagère. Ce qui m’inquiète par contre, c’est que beaucoup des personnes s’en sortent en allant voir un psy. Moi, ça me fait plutôt peur et je me dis que ce serait une victoire pour G si je suivais une psychothérapie. C’est reconnaître qu’il a réussi vraiment à me faire du mal.
Enfin, voilà, je ne sais pas si d’autres personnes ont été confrontées à un entourage compatissant pour le pervers et suspect pour soi. Moi, je ne sais plus comment le gérer.
En tout cas, encore merci pour ce blog !
je souhaite que tu te détaches... je te laisse ce message : ne te laisse pas manipuler et fuit c'est le seul moyen de t'en sortir, moi, cela fait un an ... et cette rupture radicale m'a permis d'avancer... ce type de personne te ralentisse dans ton évolution car ce sont des égoistes ... tout pour eux rien pour toi...stp pense à toi... je sais que cela n'est pas facile mais je me suis fait aider... j'ai reussi un trouver une personne à qui parler et non tu n'es pas folle ... je te souhaite du courage...si tu souhaite vraiment te sortir de cette histoire...il n'y a rien de pire que d'être sous l'emprise et d'atteindre le fond en se laissant manipuler mentalement comme tu la dis il faut en être passer par la et avoir atteint l'extrême limite pour comprendre et sans sortirse qui sauvent a mon sens sait effectivement de comprendre la manipulation et de t'apercevoir que tu n'est pas fou , ce qui sauvent aussi sait la conviction de se qui il y de sincère et honnête en
toi et d'accepter qu'en face de toi tu sais a qui tu as a faire . Se qui sauvent aussi sait l'amour que tu as en toi et envers tes proches . j'ai atteint le fond en atteignant l'extrême limite mais je n'ai jamais réussie car sait il y avait en moi de l'amour pour mes enfants de la sincérité pour mes proches comme si sait amour était une telle force que cela m'empêchait de passer de l'autre coté . Lorsque tu trouves la force et la pureté des sentiment qui sont en toi cela doit est un conducteur pour toi , et chaque fois que l'on essaye de te déstabilisé alors sert toi de ce qu'il y a de bon en toi , mais n'essaye pas de discuter avec quelqu'un qui a souhaiter te faire tomber sait une peine perdu car je pense qu'en faisant ce qu'elle fait elle cherche le conflit perpétuel et ta destruction , tu ne dois rentré dans son jeu "tristement", d'autant s'il à déjà réussi a te détruire.
bonsoirJe vis actuellement une separation d'avec une fperverse narcissique, la relation a duré un an, année durant laquelle nous avons conçu une petite fille, il y a trois semaines je me suis retrouvé en garde à vue environ trente heures...ma fperverse avait porté plainte pour violence conjugale (imaginaires), pas de certificat médicaux, de plus et detail important, les faits selon son audition se seraient déroulés dans la nuit précédent son accouchement, au matin je l'emmenais à la maternité pour accoucher, entourée de soignant durant plus d'une semaine elle n'a rien fait constater car dans son audition elle pretend qu'elle aurait eut des bleus au bras après que je l'aurai saisi par les epaules, donc elle a porté plainte trois semaines après les faits imaginaires, bien entendu la plainte correspond au jour ou je lui annonçais la separation. Je n'ai pas eu à souffrir autant que toi de sa perversité, j'avais tres rapidement compris son mode de fonctionnement, mais n'arrivait pas à mettre des mots dessus, je savais d'expérience que toutes discussions étaient vaines, ainsi je me murais dans un certain mutisme (qu'elle me reprochait bien entendu), une phrase me revenait sans cesse en tête lors de ses reproches insidieux, "ne lui repond pas" ma foi cela marchait plutot bien, elle finissait par s'enerver et c'est elle qui a plusieurs reprises est passée aux actes, pour tous ceux qui vivent cela, une arme qui pour moi a marcher c'est la menace d'hospitalisation sous contrainte, au final c'est moi qui passe trente heure en garde à vue. Elle n'a jamais réussi à avoir cette emprise affective sur moi, car tres vite je l'ai désaimée, si je suis resté c'était pour l'enfant à venir, grave erreur! la seule solution est la rupture immédiate, aujourd'hui ma fille à deux mois, je ne la vois pas, je passe devant le jaf cette semaine, je sais que cela va etre tres dur, mensonge mauvaise foie seront de rigueur pour elle, l'intérêt de l'enfant elle n'y pense pas, devant le jaf elle voudra etre reconnue comme victime, je le sais et tente de me premunir, je n'irai pas en me disant je vais la piéger, la mettre face à ses paradoxes, inutil, c'est perdu d'avance, comme tu le souligne tres bien, il faut juste que je me centre sur l'interet de mon enfant. Elle ne peut m'atteindre, elle le sait et c'est cela qui fait ma force, je lui ai dit souvent que je savais que je ne verrai pas ma fille, que j'aurai toujours un coup d'avance sur elle car j'avais compris et analysé sa perversité, bien entendu ma fperverse fonctionnant en miroir et en projection me renvoyait mon analyse. Sois sur que je comprends ta douleur, chaque jour je pense à ma fille qui aura à subir cette mere perverse, chaque nuit depuis ma garde à vue (aucun antecedent juridique avant cela) je fais des cauchemars, chaque nuit je reve de ma fille que l'on m'empeche d'approcher ou qui disparait, ou que l'on m'arrache, mais jamais je ne lui donnerai la satisfaction d'apparaitre triste, maussade. La seule revanche possible? vivre ta vie pleinement, reprendre contact avec les personnes dont elle avait du te couper, reste flou toujours avec elle, limite tes entretiens verbaux à "oui" ou "non" ou "je ne sais pas" "on verra", moi de mon côté je sais que je dois renoncer pour un moment à ma fille, c'est une dechirure que rien ne refermera ni n'apaisera, je me prepare à un droit de visite barbare une semaine sur deux, je garde tout mon dossier avocate plainte main courante, je le remttrai à ma fille lorsqu'elle sera en capacité de comprendre et d'analyser, en attendant je ne compte pas laisser passer ma vie, et c'est la meilleure revanche que je puisse prendre, les pn ne supporte pas que leur ex puissent etre heureux, alors sois heureux!
si tu veux on pourra poursuivre cette discussion, je pense que tu pourrais m'apprendre pleins de choses, la j'ai essayé d'être synthetique mais pas facil comme exercice.